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Aborder Je veux voir Dieu peut susciter quelques craintes. Longueur du livre, densité de l’écrit, vocabulaire spécialisé : de quoi dérouter un lecteur dépourvu de culture religieuse. Pourtant dans l’Avant-propos de la première édition, le Père Marie-Eugène affirme avec conviction que l’enseignement dispensé dans l’ouvrage s’adresse à tous ceux qui ont soif de Dieu, indépendamment de leur culture. « Nous sommes là pour témoigner que Dieu existe, que Dieu se donne à ceux qui le cherchent », répète-t-il fréquemment.
Le Père Marie-Eugène vient à la rencontre des chercheurs de Dieu aujourd’hui comme hier. Les pages de Je veux voir Dieu peuvent éclairer les théologiens, mais elles portent aussi leurs lumières et leur aliment pour l’humble chrétien immergé dans une vie ordinaire.
Thérèse d'Avila n'est pas une sainte comme les autres : première femme proclamée docteur de l'Eglise, elle est aussi paradoxalement une référence pour Verlaine, Marguerite Yourcenar, Cioran ou Simone de Beauvoir, parmi tant d'autres. Quel est donc le secret de cette figure qui a autant fasciné que dérangé ses contemporains, et qui aujourd'hui encore attire et interroge croyants et incroyants ? Christiane Rancé, romancière, essayiste et biographe, est partie à la rencontre de la plus énigmatique aventurière de Dieu.
Rédigé vers la fin de mai 1577, dans un moment de grande sérénité spirituelle, Le Château intérieur décrit le chemin que l'âme doit parcourir pour être au plus près de Dieu. Pour Thérèse, notre âme même est ce "château fait d'un seul diamant", qui renferme sept demeures. Au centre de toutes se trouve celle où Dieu seul réside, "la principale, où se passent, entre Dieu et l'âme, les choses les plus secrètes". Un ouvrage poétique, un guide spirituel, qui entraîne le lecteur dans l'invisible. Le traité fondateur de la mystique au féminin.
La «Madre» apparaît comme un génie dans ce texte, le plus structuré qu'elle ait écrit, en 1577, par pure obéissance. On y trouve une exceptionnelle sérénité et une pleine maturité humaine et spirituelle. Traduction à partir des travaux des RR.PP. Efren et Thomaz Alvarez qui ont maintes fois consulté l'original thérésien.
La « grande » sainte Thérèse vit le jour à Avila en 1515. Dès l'âge de dix-huit ans, elle entrait au Carmel, où elle devait entreprendre bientôt une œuvre de réforme sous l'inspiration directe de Dieu. «Ou souffrir ou mourir », aimait-elle à répéter. Et elle eut beaucoup à souffrir, aussi bien physiquement que moralement. Mais quand elle mourut le 4 octobre 1582, elle avait réussi à établir trente-deux monastères réformés. En outre elle avait eu une énorme influence sur son temps, conseillère des papes et de grands personnages. Enfin, elle a exposé « avec une clarté sans égale les secrets de la vie intérieure et mystique », ce qui lui a valu d'être proclamée docteur de l'Église.
Elle aurait pu jouir d'une vie facile, elle a choisi la voie de Dieu, avec exigence mais aussi avec une forte dose d'humanité. Redecouvrons la vie de cette femme de spiritualité et d'esprit qui parle la langue universelle la plus secrète, celle du coeur. Avec un CD de textes choisis lus par Michael Lonsdale
Jean-Jacques Antier, auteur de soixante-cinq ouvrages, s’est fait une spécialité des biographies religieuses, dont Charles de Foucauld, Thérèse d’Avila, Marthe Robin et Le Curé d’Ars. Il est l’auteur, aux Presses de la Renaissance, de C.G. Jung, Une année avec Charles de Foucauld, Une année avec Thérèse d'Avila, et, dans la collection "Les grandes figures de la spiritualité chrétienne", de Charles de Foucauld.
Thérèse d'Avila, en religion Thérèse de Jésus, est née en 1515 en Castille et morte le 4 octobre 1582. Figure immense de la spiritualité chrétienne, elle est connue comme grande fondatrice et réformatrice de carmels.
« Parce qu'elle a été si profondément unie au Christ, Thérèse a vécu et témoigné que Dieu seul suffit , que celui qui a Dieu possède tout. En ces temps que nous vivons, son témoignage est d une grande importance et d une grande actualité. Nous remercions, de tout notre coeur Françoise Bouchard de nous offrir cette excellente biographie. » Cal Antoño Cañizares Llovera « Nous pouvons rencontrer sainte Thérèse de Jésus à travers le roman de son existence, nous mettre à son école, nous laisser séduire par sa personnalité.
"Béni soit Dieu, qui nous a fait voir une sainte à imiter, une sainte qui vit comme nous !" Ainsi s'exprimaient - sans prétention aucune - les religieuses du monastère royal de Madrid, après une visite de la Mère Thérèse d'Avila. La même point de vue semble avoir retenu le RP. Crisogono, au moment de présenter cette édition populaire de la vie de Sainte Thérèse. Sans nier les extraordinaires grâce mystiques de la sainte qui pénétra les secrets de Dieu jusqu'à l'intimité du mariage spirituel, sans oublier le génie de l'écrivain dont les oeuvres demeurent parmi les pures gloires de l'esprit humain, le grand spécialiste de la spiritualité carmélitaine a préféré, en quelques pages denses et enthousiastes, entrainer ses lecteurs sur les traces de sa Mère spirituelle...