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« Une merveille de complicité avec la Petite Thérèse ! » (Cardinal Barbarin) Rejoignez sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus dans sa progression sur un chemin de sainteté, sa « Petite Voie ». Chaque montée révèle la suite de l'ascension, l'unité des étapes que l'auteur explore, goûte, partage. La mystique y a sa part dans un langage volontairement simple, puisque Jésus nous demande de ressembler aux enfants pour entrer et grandir dans le Royaume des Cieux. La petite sainte de Lisieux rejoint l'Évangile en ses racines et en son sommet. Elle nous entraîne dans sa logique d'amour et de confiance. Des sommets où elle est parvenue, elle redescend pour se placer aux côtés du lecteur et lui montrer que la sainteté est possible.
Aborder Je veux voir Dieu peut susciter quelques craintes. Longueur du livre, densité de l’écrit, vocabulaire spécialisé : de quoi dérouter un lecteur dépourvu de culture religieuse. Pourtant dans l’Avant-propos de la première édition, le Père Marie-Eugène affirme avec conviction que l’enseignement dispensé dans l’ouvrage s’adresse à tous ceux qui ont soif de Dieu, indépendamment de leur culture. « Nous sommes là pour témoigner que Dieu existe, que Dieu se donne à ceux qui le cherchent », répète-t-il fréquemment.
Le Père Marie-Eugène vient à la rencontre des chercheurs de Dieu aujourd’hui comme hier. Les pages de Je veux voir Dieu peuvent éclairer les théologiens, mais elles portent aussi leurs lumières et leur aliment pour l’humble chrétien immergé dans une vie ordinaire.
Sœur M. Consolata Betrone (1903-1946), moniale clarisse capucine au Monastère du Sacré-Cœur à Moncalieri (Turin), suivit les pas de sainte Thérèse de Lisieux dans la voie d’enfance spirituelle. Le Cœur de Jésus lui révéla la Toute Petite Voie d’Amour, une spiritualité fondée sur la confiance incessante en la miséricorde de Dieu pour tous les pécheurs avec l’invocation: «Jésus, Marie, je vous aime, sauvez les âmes.»
Ce livret contient une présentation de la Toute Petite Voie d'Amour ainsi qu'un Chemin de Croix de Notre-Seigneur Jésus avec Sœur M. Consolata Betrone réalisé par (la théologienne italienne) Luciana Maria Mirri (sous la direction de laquelle la plupart des écrits de Sœur Consolata Betrone ont été publiés aux éditions du Vatican).
Ce livre est une série de 42 méditations, construites chacune sur le plan suivant : - Un texte de sainte Thérèse - Un commentaire spirituel de l'auteur - Une suggestion de résolution pratique - Un texte biblique - Une prière sur la page de droite, avec une photo d'art en arrière plan Ce livre s'inscrit dans la continuité de « À la lumière de l'éternité » (Élisabeth de la Trinité », « Tout par amour » (saint François de Sales), « Le chemin du Ciel » (saint Curé d'Ars), « Lumineuses ténèbres » (saint Jean de la Croix) et « Être comme Lui » (Marthe Robin), des mêmes auteurs.
La nouvelle biographie de référence, Postface de l'historien de l'ordre des Carmélites Le destin de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus est un véritable mystère. Que s'est-il passé pour que cette Carmélite totalement inconnue à sa mort (30 personnes assisteront à son enterrement) devienne une figure de proue incontournable de l'Eglise catholique et transforme la petite ville de Lisieux en un gigantesque lieu de pèlerinage. Françoise Bouchard, nous prend par la main et nous fait découvrir le quotidien de Thérèse de l'Enfant Jésus, ses origines, sa famille, son entrée au Carmel, ses difficultés, sa nuit, et les grâces reçues sur la voie de la petitesse et de l'abandon à l'amour miséricordieux.
La plus grande biographie de la petite sainte appelée à être vénérée aux quatre coins du monde. On se souvient de l'excellente et première biographie de renom sur Thérèse de Lisieux - Histoire d'une vie - rédigée par Guy Gaucher en 1979. Depuis, une masse considérable de documents ont permis d'affiner la recherche sur Thérèse. Avec une compétence à nulle autre pareille, Monseigneur Gaucher les intègre ici dans un nouvel ouvrage et retrace pas à pas l'itinéraire de la petite sainte qui a osé croire, malgré les obstacles et avec audace, à l'amour miséricordieux du Père. Ni conteur ni romancier, Guy Gaucher est resté fidèle à celle qui disait : "Je ne puis que mourir de la vérité. "